Tyranique

C'est une femme que la vie n'a pas épargnée. Têtue comme pas une, elle tient toujours tête aux gens à part à son cher Rodrigo qu'elle admire pour tous ses faits et gestes, lui étant totalement dévouée. Assez autoritaire, elle profita de son veuvage pour penser à elle et ne vit que pour son fils. En plus de cela, une chose lui fait peur ... la perte de sa beauté, jalousant les jeunes femmes dont Giulia Farnese.

Cousine de Rodrigo Borgia. Veuve de Lodovico Orsini Migliorati. Tutrice de Lucrezia jusqu'à son mariage, elle est digne d'un vrai tyran selon la jeune femme, mais l'éduque comme il le faut en raison de son rang. Belle-mère de la nouvelle maîtresse de Rodrigo, Giulia Farnese, les deux femmes se haïssent, tout comme Adrianna déteste Vannozza, que d'ennemie pour cette épouse d'un Orsini.

Possessif

Orisno est un homme vif qui déteste être contredit. Enfant gâté mais ayant reçus peu d'amour de sa mère qui le traité comme un moins qu rien, il c'est forgé une carapace. Les aventures de sa femme l'énerve plus que tout et il prend le plaisir de la battre. Criant à qui veut qu'il défiera le pape, en fait il appréhende ce moment. Sachant qu'il perdrait son honneur, qui est déjà bien entaché, si le mariage avec Giulia venait à être annulé.

Orsino est née en l'année 1473. Sa mère ne lui a jamais montré son affection le repoussant le plus possible. Le jeune homme a grandi sans père et donc sans modèle. A ses 16 ans, il se mari a Giulia Farnese, surnommé la Bella. Il fut désobligeant la décrivant comme "strabisme aux yeux", "maladroite" et "auto-consciente". Malgré tout cela il ne pouvait lui retirer sa beauté. Quand vers 1491 le pape demanda Giulia comme maitresse officielle, Adrianna de Mila (mère de Orsino) donna tout de suite son approbation. En compensation Orisno reçut la mairie de la ville de Carbognano. Mais, Orsino essaye toujours de reprendre sa femme.

Comploteur

Giambattista Orsini était le fils de Lorenzo Orsini, seigneur de Monterotondo (près de Rome), et Clarice Orsini, sœur de l'Orsini puissante latinos. Il était un membre important de l'une des plus puissantes familles aristocratiques de Rome. Son oncle, Latino Orsini, était un cardinal et archevêque de Bari, et un autre oncle, Giovanni, était abbé de Farfa.

Giambattista a été fait cardinal par le pape Sixte IV en 1483. Il est allé sur le devenir clerc de la Chambre Apostolique, vérificateur du sacré Rota, et protonotaire apostolique. Le pape Innocent VIII fait de lui l'archevêque de Tarente. Le pape Alexandre VI le fit légat du pape (administrateur) de Bologne, les Marches et la Romagne.

Dans le conclave de 1492, il était persuadé de soutenir Rodrigo Borgia par l'octroi de bénéfices et les villes fortifiées de Monticelli et Soriano. Au fil du temps, les Orsini est venu à craindre la montée en puissance de Cesare Borgia et le pape.

Sensuel

Être d’une grande beauté, il use de ses charmes pour obtenir tous ceux qu’il veut dans la vie. Fils adoré de sa mère, il eu tous ceux qu’il désirait petit et déteste ne pas obtenir ces envies. Ainsi notre personnage se montre capricieux et assez colérique. Néanmoins il a comme chaque très humain des qualités tel que le courage, la loyauté et intelligence qu’il reçu comme un don de sa famille.

Francesco est le fils de Raimondo Orsini décédée et de sa cousine Guistinnia qui devint régente en 1488 au nom de son fils. L’initiant au pouvoir, le jeune homme se fit vite aimé de sa population, gouvernant justement mais toujours assez fermement au cas où si quelqu’un voulait lui voler son pouvoir. Il se rend à Pise pour étudier et rencontre Cesare Borgia. Si les deux hommes s’entendent plutôt bien au début lorsque Francesco se rend à Rome et commence à faire la cour à Lucrezia, le frère de cette dernière commence à vouloir tuer de jalousie son ancien ami. Il faut dire que bien que fiancé à un Sforza , une alliance avec les Orsini ennemis des Borgia serait fort utile au nouveau pape …. . Pour le jeune homme déjà veuf et sans enfant, la jeune femme reste une énigme. En effet, elle ne cède pas à ses avances et pour faire patienter ses envies, il commence à butiner toutes les dames de compagnie du Vatican … mais jusqu'à quand ?

Inteligente

Est ce besoin de le dire ? C’est une fille indépendante, jeune et déterminée. Elle ne comprend pas pourquoi une femme devrait être soumise à un homme ! Ne sont t’ ils pas égaux ? Fière et orgueilleuse, elle clame haut et fort sa noblesse à qui veut l’entendre .

Clarisse est la fille de Raimondo Orsini décédé et de sa cousine Guistinnia qui devint régente. Elle souffrit de la préférence de sa mère envers son frère, devant se comporter en bonne princesse, cousant et jouant de luth. Non, elle ne voulait pas de cette vie la ! Elle rêvait de liberté, courant dans la forêt. Pourquoi devoir vivre selon des règles dépassées ?
Ainsi elle n'hésita pas à flirter avec les hommes au grand dam de sa mère.
Clarisse narguait cette femme qui ne vivait que pour son fils. Elle partit voyager à Milan, Florence rencontrant des artistes jusqu'à ce que sa cousine Adriana de Mila s'en occupe l'envoyant au couvent. Elle se mourrait d'ennuie, surtout lorsqu'elle apprit que pour remercier le seigneur et absoudre sa conduite on voulait en faire une bonne soeur ! Quoi ! Elle hurla et s'échappa du couvent en pleine nuit arrivant quasi dénudée chez son frère. Devant son apparence et aimant sincèrement sa soeur, il la garda à sa cour et l'emmena à Rome avec lui. Il vit qu'une fille aussi intelligente pourrait bien lui servir. De plus, elle était assez jolie, si bien que lui-même ne put s'empêcher de la désirer mais s'abstint à la dernière seconde. Si aujourd'hui Lucrezia hante son coeur, Clarisse n'oublie pas son cher frère. Elle rêverait de lui appartenir et vit dans l'angoisse d'être marié à un homme qui la dégoûterait. Se savant digne d'une reine, seul le pape ou un duc serait intéressant. C'est ici qu'elle rencontre sa première ennemie Giulia Farnese, mais trouve une amie en Vannozza voulant détruire Adriana de Mila
Ne se souciant guère de sa vertu, elle se montre partout dans Rome, là où les riches hommes se trouvent. Il ne lui reste plus que passer à l'action pour augmenter sa gloire et vivre sa vie de femme.